La Prof De Science Doit Donner Des Cours DÉducation Sexuelle.
La prof de science doit donner des cours déducation sexuelle.
Je nen reviens pas de ce que nous demande léducation nationale. En tant que prof de science, je dois maintenant donner des cours déducation sexuelle
Jai potassé les cours que lon nous demande de donner. Je dois dire que cest assez gênant de parler de ça devant une bande de grands gamins.
Surtout que ce quon me demande est assez particulier, comme il y a eu une recrudescence de filles en cloque sur le campus, il faut que je fasse un cours sur « comment mettre un préservatif ».
Quand je vois la bande détudiants que jai, ça fait peur.
Je suis allée pour la première fois dans un sex-shop pour acheter un godemiché. Cest fou les formes et les tailles quils ont. Je ne sais lequel prendre, le modèle le plus représenté est vraiment très réaliste avec une longueur de 15 cm. Mais comme la salle de cours est grande, je préfère prendre la taille supérieure soit un gode de 17 cm avec une ventouse à la base.
Jen profite pour acheter quelques boites de préservatifs car je compte bien faire passer à cet atelier tout le monde, filles et garçons. Par les temps qui courent, cest plus prudent.
Cest le jour du cours, je nen mène pas large car certains de mes étudiants ont une tête de plus que moi.
Une fois quils se sont tous installés, je prends la parole :
-Je vous demande un peu dattention, suite à la recrudescence sur le campus de filles qui se sont retrouvées enceintes, le recteur a décidé quun cours sur la façon de mettre un préservatif sur lorgane masculin simpose. Je vais donc vous faire une démonstration et ensuite à tour de rôle, vous viendrez au pupitre pour vous exercer !
Bien entendu, des gloussements et des rires sélèvent, un brouhaha de paroles sélève.
-un peu de silence sil vous plait ! Je sais que certains dentre vous nont pas attendu pour tester la chose mais cest ainsi.
Jaurais dû tester lexercice chez moi, car le dessus du bureau est si abimé que la ventouse nadhère pas sur le bois. Jessaie plusieurs fois, bavant sur la ventouse mais rien ny fait.
Bien entendu, les rires et les moqueries fusent quand, tenant à pleines mains la hampe de la verge en silicone, je mescrime pour la faire tenir.
Je suis si énervée que les mots sortent de ma bouche plus vite que je ne laurais voulu :
-Je voudrais bien vous y voir !
Cest encore pire quavant, ils et elles se foutent carrément de moi mais je vais bien les calmer.
-Puisque cest comme ça, je veux un volontaire pour servir de tuteur !
Jai lancé ça par bravade, pour leur clouer le bec. Le silence simpose quelques secondes puis doucement et de plus en plus fort, jentends les filles scander :
-Olivier
Olivier
Olivier
OLIVIER !
Que nai-je pas fais en proposant cela ? Si je me rétracte maintenant, ils ne me respecteront plus et le respect du prof est la chose la plus importante. Je suis coincée.
-Bon Olivier, tes fans tont désigné, viens sur lestrade.
Sans se démonter, il se lève de sa chaise et sapproche de moi avec lenteur. Cest un grand gaillard bien charpenté. Quand il ma rejoint, je lui demande en espérant quil refuse :
-Je ne veux pas te forcer, il faut que tu soies daccord.
Il opine du chef et me demande ce quil doit faire.
-Tu tétends sur le bureau et tu descends pantalon et slip.
Le sourire aux lèvres, il me regarde puis tourne la tête vers ses camarades.
-Jespère que vous apprécierez mon dévouement
Surtout les filles ! Sesclaffe-t-il avant dobtempérer à ma demande.
Je pige vite pourquoi les filles ont scandé son nom, la chose flasque quil a entre les jambes est presque aussi grosse que le gode qui traîne sur le bureau.
Mais je ne vais pas me dégonfler. Pour poursuivre, il faut quil bande mais quand je lui demande de se branler, il refuse tout net en me rétorquant :
-Dhabitude, je laisse faire les filles !
Que puis-je faire dautre que de me dévouer, je ne vais quand même pas demander à une fille de venir le branler sous mes yeux ?
Rouge comme une pivoine, je me saisis donc de ce tuyau mou et commence à le caresser, à le serrer entre mes doigts.
-Encore un peu defforts !
-Il préfère avec la bouche !
-Avec les deux mains, cest plus efficace !
-Vous avez besoin daide ?
Et bien dautres conneries du genre
Il me faut biencinq minutes avant dobtenir enfin un chibre bien raide. Mais quel gourdin !!!
Dire quil faut que ça soit pendant mes cours que je tombe enfin sur un homme bien monté !
Je continue à branler de bas en haut de ma main droite ce fut si massif que mes doigts narrivent pas à lencercler pendant que je reprends la parole :
-Bien, maintenant que vous avez bien rigolé, on va voir ce que vous savez faire, je vais vous monter puis ce sera à votre tour !
Je sens quelque chose dhumide et de poisseux me couler sur la main, son pré-sperme suinte du méat mais je nai pas le temps de réagir quil éjacule violement maculant mon haut de longues trainées blanchâtre.
Cest du délire dans la salle, voilà quils applaudissent maintenant ! Je suis rouge de honte et ne sais plus ou me mettre. Mais je prends sur moi et continue le cours.
-Voilà pourquoi il faut mettre un préservatif. On peut avoir une queue de cheval et le tempérament dun lapin !
Les rires passent dans mon camp, jai marqué un point.
-Bien, reprenons
Puisque mon modèle est toujours au garde-à-vous, je vais vous montrer comment mettre un condom sur un pénis ! Une fois sortie de sa protection, vous le posez sur le gland, le réservoir à lextérieur et vous le déroulez le long de la verge ! Regardez comme je fais.
Je déchire lenveloppe, prends le préservatif dune main et redresse le gourdin dOlivier de lautre.
Je pose la capote sur le prépuce et commence à la dérouler mais je me rends compte du problème que je rencontre
Je nai acheté que des préservatifs de taille standard qui correspondent au gode que jai acheté.
Jai les plus grandes difficultés à lui passer la capote. Je suis obligée de la prendre à deux mains pour pouvoir létendre et la dérouler sur une partie de son sexe car la longueur du condom ne suffit pas à couvrir la totalité de cette hampe magnifique.
-Comme vous le voyez, si votre partenaire na rien prévu, les filles, à vous de prévoir et donc davoir des capotes de différentes tailles car comme avec Olivier, vous risquez un déchirement du préservatif sil est trop fougueux et de vous retrouvez en cloque malgré les précautions. Bon ! Maintenant ça va être à vous !
Je nai jamais vu mes élèves réagir aussi promptement pour venir faire des travaux pratiques. Les filles se bousculent à qui sera la première à chapeauter ce beau champignon. Je vois que les premières ont déjà de lexpérience et en profitent pour entretenir la forme dOlivier. Une caresse par ci, un tâtonnement des bourses par là. Je dois même réfréner les ardeurs de Lucie qui le prend en bouche.
-Eh ! Arrête-ça tout de suite, ce nest ni le jour, ni le lieu !
Mais il faut que je la tire en arrière car elle ne veut pas lâcher le bâton de glace avec ses belles boules.
Les dernières à passer sont les plus prudes. Il faut que je les force. Je dois même prendre leur main pour la poser sur ce pieu dressé. Elles essaient de glisser le préservatif des deux mains et je les aident en dressant à la verticale cet obélisque de chair ou pulse plein de fougue.
Olivier ny tient plus de tous ces attouchements et délivre de nouveau un foutre bien épais.
Maintenant, cest au tour des garçons, ils ne se bousculent pas pour faire « lexercice demandé ».
-Allons messieurs, un peu de courage, ne jouez-pas les femmelettes !
Il ny a quAloïs qui sapproche du bureau et prend en main la flamberge qui a baissé la tête après avoir donner pour la deuxième fois son obole au peuple.
Sans aucune gêne et on dirait avec une pratique consommée, il redonne de la vigueur dune main ferme et rapide au jonc vigoureux dOlivier avant de sortir de sa poche un préservatif.
-Vous voyez, on reconnait le bon ouvrier à ses outils et à chaque boulon, il faute trouver lécrou qui y correspond.
Les autres garçons ne veulent pas passer pour des lavettes devant les filles et se prêtent de mauvaise grâce à cet exercice. Je ne sais pas si cest le fait de faire ça à un homme plus viril queux qui en plus se fout un peu de leur gueule devant leur maladresse. Et aussi sous les yeux des filles qui rigolent comme des bossues mais ces grands dadais toujours promptes à faire le bordel sont pour une fois un peu « éteints » quand la sonnerie de fin du cours se déclenche.
-Bon Olivier ! Je te remercie de têtre dévoué, jen suis pour aller me changer à la fin du cours. Jespère que vous avez bien profitez du cours, Mesdemoiselles et Messieurs. A mercredi.
Olivier, tu peux te servir de lévier pour te nettoyer un peu.
Tous les élèves sont sorti, je referme la porte pour un peu dintimité et retire mon haut pour passer sous leau les taches de sperme.
Je suis juste à coté dOlivier en train de se savonner la verge toujours en érection. Il me regarde et me propose :
-Si vous devez encore faire dautres cours, je veux bien aller chez vous pour que vous vous entrainiez pour ne pas avoir dautres problèmes pendant le cours.
-Mais quest ce que tu crois ? Allez, va rejoindre tes copains !
Il croyait que jallais lui céder, ce petit con ! Il ne doute vraiment de rien !
Bien que
Quand je repense à ce quil a entre les jambes, est-ce que jaurai un jour loccasion de retrouver un tel étalon ???
À réfléchir
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!